L’ETAT CONGOLAIS FACE AU MARCHE PIRATE DE LUBUMBASHI

Pour mettre un point à nos recherches et connaissances, cet article « L’ETAT CONGOLAIS FACE AU MARCHE PIRATE DE LUBUMBASHI », renferme l’ensemble de connaissance sur le marché piraté. C’est en guise de l’amour de notre nation et notre ville, que nous sommes parvenus à mettre un article disponible, pouvant contribuer en la résolution de la situation de la ville Lubumbashi. Nous avons tout d’abord cherché à savoir les causes socio-économiques et politiques de marchés pirates. Selon lesquelles nous pouvons juste retenir sur le plan socio-économique que, le taux de chômage est gigantesque, le manque d’affaire de jeûnes et des enfants poussent à voler, cependant pour les dames, à la prostitué, alors que un moyen facile de la population pour surmonter ceci, c’est se mettre dans le commerce. Or, lieu où doit se faire la transaction de marchandises, c’est le marché. Par contre le marché est structuré par des lois, par des taxes à payer, cependant selon plusieurs vendeurs, il y a des taxes exagérées, qui ruinent même le capital de certains vendeurs. Pour se protéger de ces taxes, ils préfèrent se lancer dans le marché pirate. Ceci est dû à plusieurs tracasseries qu’on certains agents de l’état congolais, sur des taxes qui ne figurent même pas dans les taxes commerciaux. En revanche, le fait d’éviter les taxes du marché officiel aussi prive l’état de ses rétributions, contribue à l'inefficacité de l'administration publique et donne lieu à l’évasion fiscale. En effet, on peut mieux remarquer les raisons du débordement du marché pirate entre autre ; il occupe les gens dans des petites activités au lieu de se livrer aux antivaleurs, constitue une voie plus ou moins de gagner son pain quotidien, Donne une échelle restreinte des opérations, Il n'exige pas les qualifications du système scolaire officiel. De ce fait, nous demandons à l’état congolais de pouvoir encore travailler sur le cas du taux exagéré de chômage dans la ville de Lubumbashi, qui est un élément constituant les raisons majeurs du marché pirate dans la ville, avant de prendre la décision d’effacer toute trace de marché pirate dans la ville ou le paiement d’impôt pour les établissements qui acceptent la présence de vendeurs de marché pirate, devant leurs établissements. Dans ce cas, nous pourrions proposer quelques éléments pouvant contribuer à la solution de l’état congolais face au marché pirate, entre autre :- dans un temps donné permettre le marché pirate à partir des heures du soir (15 heures), jusqu’à la nuit, et interdire toute vente avant 15 heure, avec une instruction de ne pas transformer la ville en poubelle après activités entrepreneuriales. Cette approche permettra à la brigade d’assainissement de mieux faire son travail. - puis passer par l’identification de marchands, par la mairie, afin que l’état ne soit plus privé de ses revenus. Une petite taxe peut être recommandée aux vendeurs, qui seront payé directement aux bureaux administratifs de l’état, au lieu de remplir les poches de certains agents ambulants ou de policiers. Car en effet, selon plusieurs marchands, il y a des policiers et agents de l’état qui passent, pour faire payer des taxes. On peut comprendre par-là que, certains agents encouragent le marché pirate, pour prendre l’argent qu’ils marchands paient sous prétexte de taxes, qui n’entre pas dans la caisse de l’état. - mettre en disponibilité en suite un endroit où seraient exposées toutes les marchandises de personnes, qui vendent au centre-ville, pour ne pas transformer la ville de Lubumbashi, dans toute son étendue, en un marché. Hormis l’établissement de ce lieu, règlementer les taxes, néanmoins pour être payé par toute catégorie de personne, car nous rappelons que la plupart d’eux sont femmes, des enfants, des sourds, des paralytiques, et des gens incompétents d’occuper une poste dans un travail, par apport à l’état intellectuel (illettrés), et l’état physique. C’est partant de ce lieu disponibilité, que peut se faire l’interdiction de toute circulation et présence de tout marché pirate, partout dans a ville, qu’à ce lieu.